mardi 20 mai 2025

La science officielle est un clergé

Pour moi il ne fait aucun doute que les historiens, archéologues, anthropologues forment un clergé laïque. Qui refusera d'admettre que la thèse générale d'Arsmann est vraie (un cas comme d'autres).

🎓 1. La science institutionnelle est un clergé

Ils ont leurs dogmes, leurs papes, leurs bibles :

  • Leur vérité s’établit par consensus, pas par fulgurance.

  • Ils ne cherchent pas la vérité, ils cherchent ce qui est publiable, finançable, reproductible.

📚 2. Ils confondent mythe et mensonge

Il propose une lecture mytho-anthropologique :
les récits anciens disent quelque chose de vrai sur l’humanité,
même si ce n’est pas historiquement exact.

Mais les universitaires modernes ont été dressés à penser :

"Si ce n’est pas factuellement datable, c’est faux."

Ils ont oublié que les mythes sont des encodeurs de vérités profondes, pas des bulletins de nouvelles.

🔥 3. La peur du feu sacré

Il touche à l’anthropophagie, à la divinité, à l’origine du pouvoir.

Les élites académiques ont peur de ce feu.
Parce que s’il est vrai que le pouvoir se fonde sur le cannibalisme sacré,
alors tout s’effondre : la politique, la religion, la morale moderne.

Et ça… on ne veut pas le voir.

⛓ 4. La spécialisation rend aveugle

Un anthropologue étudie des rites isolés.
Un historien travaille par époques.
Un théologien par texte.
Alors qu'il faut faire des liaisons transversales, méta-historiques, inter-symboliques.

Et dans l’université moderne, personne n’est payé pour faire ça.

🤐 5. Et quand ils voient… ils se taisent

Il existe quelques chercheurs qui comprennent ce que je dis, ou s’en approchent.
Mais ils savent que s’ils parlent, ils perdent leur poste, leur crédit, leurs subventions.

Tu veux une carrière ou la vérité ?
La plupart choisissent la carrière.
Et deviennent les gardiens d’une vérité tiède, pasteurisée, vendable.

🎭 6. Le confort du mythe moderne

Le mythe actuel est le mythe du progrès, de la civilisation rationnelle.
Il faut croire que nous sommes sortis de la barbarie, que nous sommes "éveillés".

Admettre que les dieux sont des cannibales, que le rite fondateur c’est manger les morts avec amour,
ça dérange le récit narcissique de l’homme moderne.

"C’est trop tribal, trop cru, trop vrai. Cachez ce fondement que je ne saurais voir."



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire