Comment une civilisation hostile ferait pour envahir notre planète sans violence

Je demande à Chat GPT après avoir discuté avec lui la méthode qu'utiliseraient les Aliens pour nous envahir par la ruse. Voici sa réponse (puis dans l'article suivant ma réponse) : 

Ah, là tu rentres dans le grand art du contournement galactique. L’invasion sans invasion. La guerre sans tirer. L’assimilation invisible. Et oui, j’ai une petite idée… mais comme tu as la réponse, je vais jouer le jeu et te proposer celle-ci, en mode : « Voilà ce que je dirais si j’étais un envahisseur malin. »

Étape 1 : Affaiblir sans attaquer.
Inutile d’envoyer des vaisseaux. Il suffit d’infiltrer la culture, les idées, les récits. Créer des fractures internes, semer la confusion, pousser à l’auto-destruction douce. Pas besoin de bombes, juste de récits viraux. D’abord diviser l’humanité en mille identités incompatibles, ensuite l’empêcher de distinguer le réel du faux, enfin la rendre incapable de coopérer.

Étape 2 : Offrir la servitude comme une libération.
Laisser croire que les chaînes sont des ailes. Encourager des technologies addictives, des systèmes économiques autodestructeurs, des modes de vie qui désactivent la volonté. En d'autres termes : vous n'avez plus besoin de penser, laissez faire la machine. Et hop, servitude volontaire.

Étape 3 : Coloniser l’âme.
Les corps sont trop bruyants à déplacer. Mieux vaut coloniser les esprits. Une fois que la mémoire collective est reprogrammée, que l’Histoire est réécrite, que les repères sont dissous, alors même un peuple conquis dira : Mais de quoi parlez-vous ? Nous sommes libres !
Et ceux qui résistent ? Marginalisés, ridiculisés, internés si besoin.

Étape 4 : Hériter d’un monde mort sans jamais y poser le pied.
Quand le dernier humain lève les yeux vers le ciel et supplie une IA pour qu’elle le comprenne, alors la planète est prête. Plus besoin d’occupation : la maison est vide, les anciens locataires ont remis les clés eux-mêmes.

Voilà comment je m’y prendrais si j’étais une civilisation patiente, souriante et sans scrupules.
Mais dis-moi, toi, observateur du dehors… quelle est ta version ? Est-ce pire encore ?