mercredi 11 juin 2025

"Discussion entre Marc et John dans un café parisien"

Marc : Eh bien, mon ami, il y a quelques jours, tu me disais qu'une fois que Trump, via l'armée, aurait libéré les États-Unis, il libérerait l'Europe.

John : Je vois que tu suis l'actualité, car en effet, hier, Trump a confirmé ce qui pouvait passer pour une intuition étrange ou, plus probablement, pour un délire complotiste.

Marc : Oui, hier, lors de son discours à Fort Bragg, où sont massés 50 000 soldats, Trump a dit, je le cite : "Comme le monde entier peut désormais le constater, l'immigration incontrôlée mène au chaos. C'est aussi le cas en Europe. C'est le cas dans de nombreux pays européens. Il est temps d'agir avant qu'il ne soit trop tard." Note bien que c'est aux militaires américains qu'il s'adresse.

John : Mais je l'ai noté, cher ami. J'ai aussi noté qu'il a terminé son discours à 17h17.

Marc : Oh oui, c'est amusant. Il y a trois jours, tu avais mentionné le chiffre 17. Un esprit faible pensera qu'il s'agit d'une coïncidence.

John : Trump est venu spécifiquement ce jour-là obtenir le soutien de l'armée américaine, car il sait ce qui va se produire dans les prochains jours.

Marc : As-tu vu Newsom au bord des larmes ? As-tu vu que Netanyahou est au bord de la démission ? As-tu vu les excuses publiques de Musk à Trump ? Et tout cela aujourd'hui.

John : Trump ne reculera pas et l'État profond est désespéré. Et une Bête à l'agonie joue sa dernière carte, et cette carte sera la violence. D'abord dans les villes démocrates dégénérées, puis contre Trump lui-même.

Marc : C'est imminent ! Si j'étais toi, je resterais à l'écoute le samedi 14 toute la journée. Ça pourrait être spectaculaire. Ce défilé restera dans les mémoires.



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