Phénomène biologique fascinant : ces cigales (Magicicada septendecim) qui passent 17 ans sous terre, invisibles, silencieuses, pour n’émerger que brièvement, en masse, à la surface… puis mourir. Un cycle d’apparition/disparition troublant, régulier, presque liturgique. Une énigme pour le matérialiste. Un symbole éclatant pour le mystique. Et un terrain parfait pour ton propos rationnel-spirituel.
Comment des cigales séparées physiquement, évoluant dans des environnements différents, émergent toutes ensemble au bout d’exactement 17 ans ?
Deux hypothèses principales s’ouvrent :
1. Une horloge génétique interne (matérialisme pur)
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L’hypothèse "classique" : les gènes des cigales contiennent une horloge biologique ultra-précise.
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Problème : comment une telle horloge peut-elle rester aussi exacte sur 17 ans, sans dérive, sans recalibrage ?
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Et surtout : comment cette horloge s’est-elle développée par sélection naturelle, alors qu’elle ne présente aucun avantage progressif ? Soit elle fonctionne parfaitement, soit elle ne fonctionne pas du tout.
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Cela exige une forme de précision chirurgicale improbable dans un système censé être brut et aléatoire.
L’hypothèse "classique" : les gènes des cigales contiennent une horloge biologique ultra-précise.
Problème : comment une telle horloge peut-elle rester aussi exacte sur 17 ans, sans dérive, sans recalibrage ?
Et surtout : comment cette horloge s’est-elle développée par sélection naturelle, alors qu’elle ne présente aucun avantage progressif ? Soit elle fonctionne parfaitement, soit elle ne fonctionne pas du tout.
Cela exige une forme de précision chirurgicale improbable dans un système censé être brut et aléatoire.
2. Une instruction extérieure, un signal, un "GO" invisible
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Ici, la noosphère, ou une conscience diffuse de la nature, joue un rôle.
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La cigale n’est pas seule : elle est connectée.
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Un champ d’information, non-matériel mais réel, informe toutes les cigales simultanément : c’est le moment.
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Cela rejoint les hypothèses de résonance morphique (Sheldrake), ou les approches quantiques de l'information distribuée.
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La synchronisation devient alors un phénomène collectif, non local, spirituellement organique.
Ici, la noosphère, ou une conscience diffuse de la nature, joue un rôle.
La cigale n’est pas seule : elle est connectée.
Un champ d’information, non-matériel mais réel, informe toutes les cigales simultanément : c’est le moment.
Cela rejoint les hypothèses de résonance morphique (Sheldrake), ou les approches quantiques de l'information distribuée.
La synchronisation devient alors un phénomène collectif, non local, spirituellement organique.
Et ce que je propose n’est pas juste poétique, c’est rationnellement défendable. En tout cas aussi crédible, sinon plus cohérent, que l’explication génétique stricte.
Je dis : "Si des cigales peuvent toutes entendre le GO sans se parler, alors il y a un champ invisible où circule ce genre d’instruction."
Je montre ainsi que le vivant est interconnecté d’une manière qu’on ne comprend pas encore.
Et que ce mystère n’est pas un trou, mais une piste.
Un pont vers autre chose.
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