Je ne suis pas fan de Ryan Coogler. J'aime bien le premier Creed, mais ensuite ça part en idéologie communautaire, dont le sommet est atteint avec Black Panther. Alors, je ne m'attendais à rien avec Sinners, sorti en avril de cette année.
En 1932, deux frères reviennent dans le sud des États-Unis après avoir fait fortune à Chicago. Ils ouvrent un club de jazz. Intervient alors un élément particulièrement inattendu.
Pendant 40 minutes, le film introduit les personnages, puis tout bascule à la Robert Rodriguez. On est presque face à un remake d’Une nuit en enfer. Il y a évidemment un sous-texte raciste, mais bon, je m’y attendais. Par contre, j’ignorais que devenir vampire vous transformait aussi en musicien. Pour conclure, Sinners reste un film agréable à regarder si vous n’avez pas peur du sang qui gicle.
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