Premier roman de Stephen King, un auteur médiocre devenu fou, "La Longue Marche" est pour la première fois adapté au cinéma par Francis Lawrence, le réalisateur des Hunger Games.
De jeunes hommes participent à un concours, "La Longue Marche", retransmis à la télévision, dans lequel ils représentent leur État dans le but de revigorer la nation après une terrible crise. Le dernier debout gagne, les autres sont exécutés.
Encore une fois, l'histoire de King n'a aucun sens, mais c'est un concept émotionnel fort qui plaît à Hollywood. Personne dans le monde réel ne participerait à cela, et même la Corée du Nord n'organiserait pas une telle marche. Comme nous sommes encore dans une période wokiste, certes déclinante mais bien présente, la fin est déductible dès les premières minutes : le blanc perd, le noir gagne. On regarde donc de jeunes hommes marcher, discuter, puis se faire tuer les uns après les autres. King est un pervers, et un jour le monde entier le saura.
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