"Les pervers"

- Comment peut-on jouir sans contrainte ?

- Pour cela, il faut éliminer les religions ou en choisir une qui permet de pratiquer tes perversions.

- Et quelle est cette religion miraculeuse ?

- C'est le satanisme, bien entendu. Cependant, je conçois que ce mot puisse te déranger. Dans ce cas, tu peux le dissimuler sous le terme "luciférianisme" dans tes cercles privés. En public, tu parleras de laïcisme.

- Quelle est la différence ?

- Les francs-maçons vénèrent Lucifer. C'est la religion d'État. Il n'y a pas vraiment de différence, cependant tu peux prétendre qu'il y en a une. Tu peux dire que le personnage de Lucifer est un être positif qui veut aider l'humanité. Il y a même une série télé où il est le héros.

- Satan ou Lucifer, les deux combattent Dieu.

- C'est vrai. Pour jouir sans contrainte, il faut avant tout combattre Dieu.

- Je pourrais alors assouvir toutes mes perversions ?

- Oui, tout te sera permis. Plus aucune morale ne te retiendra.

Qui était Prométhée ?

Certaines personnes ont une image de Prométhée positive parce qu'il aurait volé la connaissance au tyran Zeus, mais vous pensez quoi ? Que Prométhée s'est enfui avec une bibliothèque sur le dos ? Quelle connaissance a bien pu voler Prométhée à Zeus ? Le feu ? Ne soyez pas ridicule, la maîtrise du feu date de 400 000 ans. Alors quoi d'autre ? Qu'est-ce qui justifiait qu'on le pourchasse et que l'on le torture jusqu'à la fin des temps ? Pourquoi Zeus a-t-il été si dur ? Prométhée est un antéchrist, il a voulu donner le secret des "dieux" aux hommes et si vous saviez quel était ce secret, vous ne diriez pas que c'était une bonne chose. Pour connaître ce secret, il faut comprendre les raisons de la Titanomachie, la guerre entre les Titans et les Dieux, deux peuplades grecques opposées sur un point précis. Les Titans étaient des anthropophages, leur roi Cronos dévorait ses enfants, leur religion était équivalente à celle de Baal et de Moloch et c'était celle du peuple du roi Cronos donc de la Grèce. Zeus, son fils, est un héros. Il a anéanti les Titans et émis des lois interdisant l'anthropophagie aux hommes, dorénavant l'anthropophagie sera l'exclusivité des dieux, des dieux car ils sont au sommet de la chaîne alimentaire. Des dieux rois tyranniques certes, mais qui ont changé le monde en mieux. Revenons à Prométhée et au secret qu'il a volé. Prométhée a tenté de relancer la religion anthropophage chez les hommes, d'où la colère de Zeus. Il faut bien comprendre que la religion anthropophage promet l'immortalité, quand tu manges une personne, cette personne continue à vivre en toi et quand tu es mangé, tu continues à vivre dans la personne qui t'a mangé et ainsi de suite. Les anthropophages se pensent donc immortels. La vision générale que Prométhée est Lucifer n'est pas usurpée, c'est ce qu'il est.

"La Cérémonie du diable"

 Une discussion entre deux hommes au sommet de la pyramide sociale :

- Bien sûr que cela va se voir, et c'est pour cela que nous le faisons.

- Il sera difficile de nier après cela.

- Et pourtant, nous le ferons.

- Il est vrai que tous les médias sont de notre côté.

- Oui, ils diront tous unanimement que cela a été magnifique, et le tour sera joué.

- Nous accuserons les récalcitrants d'être des extrémistes religieux et des fascistes.

- En effet, c'est tellement facile de contrôler des moutons.

- La statue du veau d'or sur l'estrade, c'est quand même osé.

- Les gens sont crédules, ils ne savent même plus ce que cela signifie.

- Le Cavalier de l'Apocalypse sur la Seine ?

- Ils n'y verront qu'un simple cavalier et ne retiendrons que la beauté de l'image.

- Les personnages de la Cène remplacés par des transsexuels est mon moment préféré.

- Le mien aussi, le mien aussi, mon épouse adorée.

- Ils sont vraiment stupides !

- Oui, ils le sont !

Michel Polnareff - "TOUT TOUT POUR MA CHERIE" Japan TV Sept. 1979

Voici les paroles de la chanson "Tout pour ma chérie" de Michel Polnareff :

Tout, tout pour ma chérie, ma chérie  

Tout, tout pour ma chérie, ma chérie  

Tout, tout pour ma chérie, ma chérie  

Tout, tout pour ma chérie, ma chérie  

Toi, viens avec moi  

Et pends-toi à mon bras  

Je me sens si seul  

Sans ta voix, sans ton corps  

Quand tu n'es pas là  

Oh oui, viens !  

Viens près de moi  

Je ne connais rien de toi  

Ni ton nom, ni l'âge que tu as  

Et pourtant tu ne regretteras pas  

Car je donne tout, tout pour ma chérie, ma chérie  

Tout, tout pour ma chérie, ma chérie  

Tout, tout pour ma chérie, ma chérie  

Tout, tout pour ma chérie, ma chérie  

Je suis sur un piédestal de cristal

Et j'ai peur un jour de tomber

Sans avoir personne à mes côtés

Mais si tu viens

Viens avec moi

Je sais qu'il y aura

Quelqu'un qui marchera près de moi

Qui mettra fin à mon désarroi

Tout, tout pour ma chérie, ma chérie  

Tout, tout pour ma chérie, ma chérie  

Tout, tout pour ma chérie, ma chérie  

Tout, tout pour ma chérie, ma chérie  

Toi, viens avec moi

J'ai trop besoin de toi

J'ai tant d'amour à te donner

Laisse-moi, laisse-moi te serrer contre moi

Oui, viens avec moi

Et ne me quitte pas

Je t'attends depuis tant d'années

Mon amour, tant d'années à pleurer

"Les Lanternes de la Confusion"

Dans une clairière entourée d'une forêt dense, deux personnes de petite taille s'affairaient à préparer et lancer des lanternes thaïlandaises. Sans attendre plus que de raison, ils les allumèrent une par une et les lâchèrent sans y prêter plus d'attention. Une fois montées à une altitude qu'ils jugèrent raisonnable, nos deux petits gaillards remontèrent dans leur véhicule gris métallisé.

"C'est une parfaite diversion," pensèrent-ils en même temps. Puis ils mirent en marche leur véhicule et décollèrent à une allure modérée, entourés par les lanternes thaïlandaises. À l'intérieur de leur soucoupe volante, les deux petits gris non identifiés pensèrent de nouveau en même temps : "Qu'est-ce qu'ils peuvent être cons sur cette planète !"

"La Terrible Atlantide"

L’Atlantide, ce territoire mythique perdu dans les abysses de l’histoire, était autrefois une île de la Grèce antique. En son cœur trônait une statue colossale de Poséidon, le Seigneur de la Terre et époux de la terre. Ce dieu des Atlantes n'était pas seulement un protecteur des océans, mais un être aux instincts sombres et dévorants. Sa statue, à la fois vénérée et redoutée, tenait fermement un trident étincelant, une arme mortelle autant qu'une fourche impitoyable pour traquer et dévorer les hommes.

Les Atlantes, habitants de cette île vivaient selon des coutumes effrayantes et mystérieuses. Fier et indomptable, ce peuple se considérait au sommet de la chaîne alimentaire, leur anthropophagie symbolisant une suprématie incontestée. Pour eux, consommer la chair humaine était un acte sacré, un rituel qui les rapprochait de leur dieu Poséidon, en les élevant au-dessus des simples mortels.

Les autres cités grecques, Athènes en tête, observaient avec dégoût et terreur les coutumes sanglantes des Atlantes. Les légendes de cette île où les hommes étaient chassés comme du gibier pour des festins cannibales se répandaient, alimentant la colère et la haine. Les Grecs, fatigués d'être traqués et chassés, décidèrent qu'il était temps de mettre fin à ces atrocités.

La guerre éclata avec une violence inouïe. Les armées grecques, unies par un désir brûlant de justice, s’élancèrent contre les remparts de l’Atlantide. Les Atlantes, bien que redoutables et agiles, se trouvèrent submergés par le nombre et la détermination de leurs assaillants. Le trident de Poséidon, jadis symbole de leur puissance invincible, ne put rien contre la vague déferlante de la révolte grecque.

Les combats furent âpres et sanglants. Les Atlantes, se battant avec l’énergie du désespoir, ne purent empêcher l’inévitable. Un jour, l'île trembla sous les coups assourdissants des béliers et des catapultes. Les temples s'effondrèrent, les palais brûlèrent, et le cri de détresse de Poséidon résonna à travers la mer. L’Atlantide, jadis orgueilleuse et cruelle, sombra dans les abysses, emportant avec elle ses secrets et ses abominations.

Les survivants grecs, victorieux mais marqués par l'horreur des batailles, rentrèrent chez eux avec des récits de courage et de justice. Ils racontèrent comment ils avaient mis fin aux terreurs de l'Atlantide, comment ils avaient libéré les hommes de la menace des anthropophages. La légende de l'Atlantide, transmise de génération en génération, devint un avertissement sur les dangers de l'orgueil et de la barbarie.

Ainsi, l'Atlantide disparut de la surface du monde, laissant derrière elle une histoire de grandeur et de terreur, de divinités cruelles et de peuples intrépides. Elle demeura dans les mémoires comme une énigme insondable, un écho lointain de ce que fut l'aube des temps anciens, où les dieux et les hommes se livraient des combats sans merci.

Les Géants de l'Antiquité : Mythes, Réalités et Légendes

Les géants de l'antiquité fascinent et terrifient depuis des millénaires. Considérés comme dangereux, puissants et rapides, ces êtres extraordinaires peuplent les récits anciens avec une force brute et une présence imposante. Mais qui étaient-ils vraiment ? Explorons ensemble les légendes et les mythes entourant ces êtres mystérieux.

Des Prédateurs Implacables

Les géants, dans les récits anciens, étaient avant tout des prédateurs. Dotés d'une force physique incommensurable, ils étaient capables de se transformer en lion, en éléphant ou même en souris. Cette capacité imaginaire les rendait encore plus redoutables. Ils étaient les prédateurs ultimes, courant et chassant sans relâche.

La Force comme Loi

En ces temps reculés, l'usage de la force était non seulement accepté mais glorifié. La force physique et le muscle étaient les critères suprêmes de la réalité. On serait terrifié devant une ethnie de prédateurs humains, aux corps sculptés par l'effort et la chasse. Pour ces peuples, la faiblesse n'avait aucune place dans leur société. 

Le Nouveau-Né sans Valeur

Dans ces communautés prédatrices, le nouveau-né n'avait aucune valeur. La mortalité infantile étant élevée, on ne s'attachait pas aux enfants. La faiblesse n'était pas glorifiée. Un processus de renouvellement étrange et cruel se déroulait : manger son propre nouveau-né pour se régénérer et recommencer un nouveau cycle de vie, à zéro. 

La Chute des Géants

Les géants furent finalement battus. Selon les légendes, ils furent enterrés sous les volcans de Grèce et d'Italie. Des montagnes comme l'Atlas en Afrique du Nord seraient en réalité des géants transformés en pierre. Cette croyance perdurait : les derniers anthropophages pensaient qu'ils se transformeraient en pierre s'ils ne pouvaient pas être mangés. Ils croyaient que leur esprit continuerait de vivre à travers le géant qui les aurait consommés, préservant ainsi l'héritage de leur lignée.

Les Tumulus : Tombeaux des Géants

Les tumulus, ces petites collines artificielles, seraient les tombeaux des géants. Contrairement aux idées reçues, ces géants étaient des hommes de taille normale, dont la particularité était leur pratique de l'anthropophagie, ce qui leur conférait un sentiment de supériorité.

Conclusion

Les géants de l'antiquité, bien qu'entourés de mythes et de légendes, reflètent une facette de l'humanité où la force brute et la prédation étaient des valeurs suprêmes. Ces récits nous rappellent l'importance de comprendre les cultures anciennes avec leurs propres contextes et croyances. Au-delà des histoires de cannibalisme et de transformations mystiques, ils nous invitent à explorer les profondeurs de la nature humaine.

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"La tempête approche"

Les personnages se disputent avec animation, chacun tentant de prendre l'ascendant sur l'autre. L'atmosphère est tendue, les mots claquent comme des coups de fouet dans la pièce exiguë.

- La vicieuse : Il faut lui faire signer sa renonciation de force s'il le faut.

- La tueuse : Ce n'est pas nécessaire. Il suffit de produire un faux document et de le publier sur les réseaux.

- Le renégat : C'est idiot, il dira qu'il n'a rien fait de tel.

-  La tueuse : Non, car il avouerait alors qu'il ne contrôle pas sa communication et passerait pour encore plus faible.

- La vicieuse : C'est un piège qui semble valable, mais il pourrait se retourner contre nous.

- La tueuse : Si c'était le cas, nous l'éliminerions physiquement s'il le faut.

- Le renégat : Nous pourrions aussi le faire destituer, nous avons des arguments puissants pour le faire.

- La vicieuse : Je serais la candidate.

- Le renégat : Ne sois pas ridicule, tu n'as pas les compétences, tu vas te ridiculiser.

- La vicieuse : Tu as une meilleure idée, toi qui es marié à un transsexuel ?

- Le renégat : Eh oui, justement, ma femme pourrait être candidate.

-  La tueuse : Nos adversaires sortiraient immédiatement le dossier de sa véritable nature.

-  Le renégat : Nous les traiterons de transphobes et le tour serait joué.

-  La tueuse : Non, ça sera moi de nouveau. J'ai perdu la dernière fois, mais cette fois je peux gagner par la ruse.

-  La vicieuse : Tu as perdu une fois et tu perdras de nouveau.

-  La tueuse : Toutes les solutions sont perdantes.

-  Le renégat : Oui, il faut donc gagner du temps. Peu importe le candidat, il nous faudra un plan pour renverser la table quand nous perdrons.

-  La tueuse : C'est la seule solution.

Les regards se croisent, les sourires se figent. L'heure est grave, mais l'enjeu est grand. Chacun sent que la moindre erreur pourrait être fatale. Ils doivent trouver un moyen de rester unis malgré leurs divergences, car c'est ensemble qu'ils affronteront la tempête à venir.

"Zeus, le tueur des Titans"

Dans les ténèbres profondes de l'antiquité, lorsque le monde était encore jeune, une prophétie funeste résonnait dans le palais de Kronos, roi des Titans. La tradition affirmait que l'un de ses enfants le détrônerait. Terrifié par cette perspective, Kronos décidait de dévorer chacun de ses enfants dès leur naissance. Mais l'histoire de Zeus, le plus jeune d'entre eux, prit une tournure différente.

Rhéa, la mère de Zeus, accablée par le chagrin et la douleur de voir ses enfants dévorés, mit au monde son dernier fils dans le secret le plus total. Elle remit à Kronos un autre enfant enveloppé dans des langes, que le titan avala sans suspicion. Zeus, l'enfant miraculé, fut ainsi sauvé du terrible rituel.

En grandissant, Zeus fut élevé loin du regard de son père, caché sur le mont Ida en Crète. Conscient de son destin et de l'horreur perpétrée par Kronos. La Titanomachie, la guerre contre les Titans éclata. Elle fut un conflit titanesque qui dura dix ans. Zeus mena les dieux, d'anciens Titans, à la victoire. Kronos et ses alliés furent vaincus et emprisonnés dans le Tartare, une prison sombre et abyssale, c'est à dire le ventre de Zeus.

Après la victoire, Zeus se consacra à instaurer un nouvel ordre. Il voulait mettre fin à la barbarie des Titans mangeurs de chair humaine. Convaincu que la consommation de chair humaine était la source de beaucoup de maux, il décréta une loi interdisant aux hommes de se livrer à l'anthropophagie. Cependant, Zeus comprenait que changer la nature des anciens Titans qui s'étaient ralliés à lui pour former les dieux de l'Olympe était impossible. Ils seraient une exception à la règle, mais cette exception était un compromis pour un avenir meilleur.

Bien que les dieux de l'Olympe, désormais au sommet de la chaîne alimentaire, restassent anthropophages, l'interdiction faite aux hommes, d'êtres des Titans, c'est à dire de manger de la chair humaine, représentait un progrès significatif. Les hommes, libérés de la crainte de cette pratique, purent vivre dans une société plus juste et ordonnée. Zeus, en instaurant cette loi, devint un héros tragique. Bienfaiteur de l'humanité, il portait cependant en lui la culpabilité de l'anthropophagie, un fardeau hérité de ses ancêtres titanesques.

La position sociale des dieux reposait sur cette distinction fondamentale : seuls les dieux pouvaient se permettre certains privilèges. En contrôlant cette pratique, Zeus espérait maintenir l'ordre et limiter le mal. Il comprenait que pour éradiquer totalement cette barbarie, il fallait en restreindre l'accès et en réguler les conséquences.

Ainsi, Zeus, le tueur des Titans, éleva l'humanité au-dessus des pratiques barbares de ses ancêtres. Il devint un symbole de justice et de progrès, malgré les contradictions et les compromis qui marquaient son règne. Les lois qu'il établit devinrent la fondation d'un nouvel âge, où les hommes, libérés de la terreur des Titans, purent prospérer sous la protection bienveillante mais complexe des dieux de l'Olympe.

(texte basé sur les travaux d'Allan Arsmann)

"Le Fou qui Voulait Tourner en Rond"

La presse en faisait ses choux gras : un hurluberlu voulait prouver que la Terre est ronde.

Cela faisait des années que cet homme, seul contre tous, déclarait, au défi du bon sens, que notre planète est sphérique. Une aberration pour la science et la logique. Mais cette fois, notre énergumène avait un plan. Il voulait faire le tour de la Terre pour prouver sa thèse.

Selon les médias, il devenait dangereux pour lui-même. En effet, la presse posait la question suivante : « Doit-on laisser un homme, même fou, aller droit vers la mort ? » Car la finalité était évidente pour tous : il allait tomber dans le grand vide !

Sous pression, la justice finit par bouger et plaça le malade dans un hôpital psychiatrique pour son propre bien. La presse se félicitait d’un tel acte de bonté.

"La Chute de l'Ombre"

Dans une nation où les jeux de pouvoir se jouent dans l'ombre, Eléonore Marceau était une figure respectée et redoutée. En tant que chef des services secrets, elle contrôlait une grande partie des informations critiques du pays, et son influence sur les décisions gouvernementales était indéniable. Pourtant, sous cette façade d'autorité, une tension bouillonnait, alimentée par une profonde désillusion envers le président, Antoine Devereux.

Devereux, charismatique et populiste, avait conduit le pays dans une direction qu'Eléonore et beaucoup d'autres au sein de l'establishment jugeaient désastreuse. Ses politiques imprudentes et ses alliances douteuses menaçaient de déstabiliser le pays. Eléonore, convaincue que sa réélection serait catastrophique, prit une décision radicale : l'éliminer.

L'occasion se présenta lors d'un grand meeting en plein air. Le plan était minutieusement préparé. Un sniper, placé dans une position stratégique, devait tirer sur Devereux au moment précis où il saluerait la foule. Mais au moment crucial, quelque chose d'inimaginable se produisit. Une série de coïncidences improbables fit que les balles ratèrent leur cible. Le président, par un coup du sort ou par un instinct de survie miraculeux, échappa à la mort.

Les jours qui suivirent furent un tourbillon d'enquêtes et de spéculations. La scène de crime, censée être une démonstration de l'efficacité d'Eléonore, était truffée d'incohérences flagrantes. Les preuves, au lieu de se disperser comme prévu, semblaient se concentrer sur une direction : celle de la chef des services secrets elle-même.

Eléonore tenta de se disculper par un faux témoignage soigneusement élaboré, prétendant que les erreurs étaient dues à l'incompétence de ses subordonnés. Mais chaque tentative pour détourner l'attention ne faisait qu'empirer sa situation. Les preuves s'accumulaient, les témoins se multipliaient, et les éléments de l'enquête convergeaient tous vers une conclusion inévitable.

Poussée dans ses derniers retranchements, Eléonore fut contrainte de démissionner. La nouvelle de son arrestation pour tentative de meurtre en bande organisée fit l'effet d'un tremblement de terre dans le pays. Le procès qui s'ensuivit révéla des détails sordides et des manœuvres politiques dignes des plus grands thrillers.

Finalement, Eléonore Marceau, autrefois pilier de la sécurité nationale, devint le symbole de la trahison au sein des cercles du pouvoir. Le président Devereux, malgré les critiques et les controverses, sortit renforcé de cette tentative d'assassinat avortée, son image de survivant lui conférant un nouveau souffle politique.

Dans l'ombre, ceux qui avaient soutenu Eléonore se dispersèrent, craignant d'être les prochains sur la liste des coupables. Mais l'histoire retiendra que, dans cette lutte pour le pouvoir, même les plus puissants peuvent tomber lorsqu'ils jouent des cartes trop risquées.

"Opération Barbecue"

Opération Barbecue

C'était un 14 juillet ensoleillé, et la famille Soucis se préparait pour leur célèbre barbecue annuel. Chaque année, ils organisaient une grande fête dans leur jardin, et cette fois-ci, ils avaient décidé de rendre les choses encore plus amusantes pour les plus jeunes avec une série d'énigmes.

Chapitre 1 : Les Enigmes Mystérieuses

Les enfants étaient excités dès qu'ils entendirent parler des énigmes. Alcibiade, avait passé des jours à préparer un jeu d'énigmes pour ses neveux et nièces. Il avait caché des indices partout dans le jardin, chacun menant à une nouvelle énigme.

« D'accord tout le monde, écoutez bien ! » dit Alci en rassemblant les enfants autour de la grande table de jardin. « Le but du jeu est de résoudre chaque énigme pour trouver le trésor final. Vous êtes prêts ? »

Les enfants crièrent de joie et commencèrent immédiatement à chercher les indices. La première énigme les envoya vers le vieux pommier au fond du jardin. Là, ils trouvèrent un message enroulé autour d'une branche : « Je suis un objet utilisé dans le jardin. J'ai des petits trous et on me remplit d'eau pour arroser les plantes. Qui suis-je ? »

Après quelques discussions, ils répondirent tous en chœur : « Un arrosoir ! » Alci leur sourit et leur donna le prochain indice.

Chapitre 2 : Le Barbecue

Pendant que les enfants étaient absorbés par leurs énigmes, les adultes s'occupaient du barbecue. Homère, surveillait attentivement les charbons de bois. « Il faut que les braises soient parfaites pour les brochettes et les merguez ! » disait-il avec passion. L'odeur alléchante des grillades remplissait l'air et faisait gargouiller les estomacs.

La grande table de jardin était dressée avec soin, et bientôt, tout le monde se retrouva autour pour savourer le délicieux festin. Les enfants, ravis de leurs découvertes, racontaient leurs exploits tout en mordant dans des morceaux de viande juteuse.

Chapitre 3 : Badminton et Digestion

Après le repas, il était temps de digérer un peu. Alci proposa de jouer au badminton. « Allez, on forme des équipes ! » cria-t-il. Les raquettes et les volants furent rapidement sortis, et le terrain improvisé de badminton prit vie.

Les rires et les cris de joie résonnaient dans le jardin tandis que les enfants et les adultes se relayaient pour des matchs amicaux. Même les plus petits essayaient de taper dans le volant, ajoutant à l'ambiance joyeuse de l'après-midi.

Chapitre 4 : Feux d'Artifice et Pétards

La nuit commençait à tomber, et l'excitation grandissait. « C'est l'heure des feux d'artifice ! » annonça James avec un grand sourire. Les fusées et les pétards avaient été soigneusement préparés pour l'occasion.

Tout le monde se rassembla sur la pelouse, les yeux rivés vers le ciel. La première fusée monta avec un sifflement perçant et éclata en une explosion de couleurs éclatantes. Les « oh » et les « ah » émerveillés des enfants accompagnaient chaque explosion lumineuse.

Les pétards crépitaient au sol, ajoutant des éclats de lumière et des bruits festifs à la soirée. C'était un spectacle magique, et même les adultes retrouvèrent leur âme d'enfant en regardant les feux d'artifice illuminer le ciel étoilé.

Épilogue

La soirée se termina par des rires et des remerciements, chacun se promettant de renouveler l'expérience l'année suivante. « Opération Barbecue » avait été un franc succès, et les Soucis savaient déjà que ce 14 juillet resterait gravé dans les mémoires comme l'un des plus beaux de l'année.

La nature de la souffrance d’Ève - élucidée par un Asperger

Dans une vidéo récente, Allan Arsmann aborde un sujet controversé et troublant : le cannibalisme et ses liens avec des récits bibliques et historiques. Cette perspective nous amène à revisiter des textes sacrés et des pratiques anciennes sous un nouvel éclairage, révélant des aspects souvent occultés de notre patrimoine religieux et culturel.

Arsmann propose une interprétation radicale du péché originel commis par Adam et Ève. Selon lui, manger le fruit défendu (son enfant) pourrait symboliser un acte de cannibalisme. 

À certaines époques, il était légal de tuer son enfant, une réalité choquante confirmée par des historiens comme Hérodote. Dans de nombreuses cultures anciennes, les sacrifices humains étaient non seulement pratiqués mais également suivis de cannibalisme rituel. Wikipedia mentionne que ces sacrifices faisaient souvent partie de pratiques religieuses, où la consommation des victimes était censée transmettre des pouvoirs ou des bénédictions divines.

Arsmann va plus loin en affirmant que la souffrance de l'accouchement mentionnée dans la bible est l'acte de manger son enfant.

Le texte de la Genèse, selon Arsmann, a été modifié au fil du temps, ce qui aurait atténué ou transformé des récits originaux de sacrifices humains et de cannibalisme. Cette hypothèse souligne l'importance de la critique textuelle dans la compréhension des écrits sacrés et la nécessité de contextualiser chaque époque pour saisir pleinement leur signification.

Plusieurs passages de la Bible évoquent des sacrifices d'enfants, notamment dans l'Exode. Les versets 13:11 et 13:15 sont particulièrement explicites : "Tout premier-né mâle est à Yahvé et doit lui être sacrifié". Ces textes, souvent interprétés métaphoriquement ou comme des pratiques abandonnées, témoignent néanmoins d'une époque où de tels actes pouvaient être considérés comme des obligations religieuses.

Ce n'est qu'avec le Nouveau Testament que l'enfant commence à être perçu comme une bénédiction. Cette transformation radicale de la perception de l'enfance marque une rupture significative avec les pratiques antérieures et reflète une évolution des valeurs morales et spirituelles.

Arsmann conclut en évoquant la perception de supériorité chez les cannibales, qui se voient au sommet de la chaîne alimentaire. Cette croyance en une hiérarchie alimentaire renforce l'idée de domination et de puissance, souvent associée à des pratiques rituelles violentes.

Pour comprendre pleinement ces pratiques et croyances, il est crucial de les contextualiser dans leur époque respective. Ce regard historique et anthropologique nous permet de saisir la complexité des sociétés anciennes et d'en tirer des leçons pour notre compréhension contemporaine.

En somme, la vidéo d'Allan Arsmann nous invite à une réflexion profonde et souvent dérangeante sur nos racines religieuses et culturelles, mettant en lumière des aspects de l'histoire humaine qui continuent de résonner avec notre présent.

"Le Pouvoir de l'Ombre : Conspiration Cosmique"

 Discussion entre deux dirigeants d'une race extraterrestre : 

- Les lois galactiques nous interdisent de conquérir la Terre.  

- Alors, comment allons-nous faire ?  

- Il existe une autre solution pour prendre le pouvoir sur cette planète bleue, et elle est légale.  

- Ah oui ?  

- Il suffit de contacter une élite terrienne et de les convaincre de nous donner le pouvoir.  

- Et comment allons-nous les convaincre d'une telle trahison ?  

- C'est simple, il faut les corrompre, leur promettre monts et merveilles pour eux. S'ils nous donnent le pouvoir volontairement, alors c'est légal.  

- Mais quels avantages allons-nous leur offrir ?  

- Nous allons leur promettre la vie éternelle, la richesse, le pouvoir sur une population esclave, et en échange, ils feront tout ce que nous voulons qu'ils fassent.  

- Très bien, mais sur Terre, le pouvoir n'est pas centralisé, ils ont ce qu'ils appellent des nations. Comment corrompre autant de nations ?  

- Il faut se concentrer sur les pays dominants, les petites nations tomberont alors sans résistance.  

- Mais si une nation dominante refuse le marché ?  

- Si un homme d'État fort apparaît, nous le ferons passer pour un dictateur nationaliste de la pire espèce, nous lui ferons une guerre économique totale, nous tenterons une révolution colorée ou un coup d'État, et en dernier recours, nous lui ferons la guerre via les pays que nous contrôlons.  

- Et je suppose que nous utiliserons une stratégie de propagande ?  

- Bien sûr, les médias seront notre plus grande force, encore plus que les politiciens que nous contrôlerons. Qui contrôle les médias contrôle le monde.  

- Mais sommes-nous certains que les autres races extraterrestres n'interviendront pas ?  

- Ils peuvent nous empêcher de prendre le pouvoir sur Terre si nous utilisons la force, mais si ce sont les terriens eux-mêmes qui nous donnent ce pouvoir volontairement, même si pour cela nous avons utilisé la ruse, cela reste légal. Ils seront obligés de s'incliner.  

- Si cela fonctionne, le plus amusant c'est que les terriens se battront contre les dirigeants qui veulent les sauver en les appelant des dictateurs, c'est la magie de la propagande.  

- De plus, nous allons les opposer les uns contre les autres : les femmes contre les hommes, les noirs contre les blancs, les musulmans contre les chrétiens et les juifs, les homos contre les hétéros. Ils seront divisés, ils se détesteront. Cependant paradoxalement la tolérance sera le maître mot.  

- Quand nous débarquerons, ils nous toléreront ?  

- Bien entendu ! Ils seront habitués aux différences sexuelles et raciales. Nous traiterons les récalcitrants d'alienophobes et ils se coucheront par honte sociale. C'est tellement simple de les manipuler.  

- Et nous avons tout notre temps. Rien ne peut arrêter ce qui vient.

"Interprétation des âges des patriarches hébreux dans le contexte historique"

Candide : Tu sais, j'ai toujours été intrigué par les âges mentionnés dans la Bible pour les patriarches hébreux. Par exemple, Mathusalem aurait vécu 969 ans. Comment est-ce possible ?

Logicien : C'est une question intéressante. Il est important de se rappeler que la Bible est un texte ancien et que les chiffres mentionnés peuvent avoir des significations symboliques ou être basés sur des systèmes de mesure du temps différents de ceux que nous utilisons aujourd'hui.

Candide : Que veux-tu dire par "systèmes de mesure du temps différents" ?

Logicien : Eh bien, certains chercheurs pensent que les années mentionnées dans la Bible pourraient être basées sur un calendrier lunaire, comme le calendrier lunaire d'Ur, plutôt que sur notre calendrier solaire moderne.

Candide : Donc, si nous convertissons les années lunaires en années solaires, quel serait l'âge de Mathusalem ?

Logicien : Selon cette théorie, si nous convertissons les années lunaires en années solaires, Mathusalem aurait vécu environ 78 ans, ce qui est beaucoup plus plausible.

Candide : C'est fascinant ! Donc, les âges mentionnés dans la Bible pour les patriarches hébreux pourraient être basés sur un calendrier lunaire et non sur notre calendrier solaire moderne.

Logicien : Exactement. C'est une interprétation possible qui tient compte du contexte culturel et historique de l'époque.

Une rencontre équestre à la campagne

Lors d'une balade à vélo à travers la campagne, j'ai eu une rencontre inattendue. Le soleil était voilé par quelques nuages, créant une lumière douce et parfaite pour une promenade relaxante. Les champs verdoyants s'étendaient à perte de vue, offrant un panorama paisible et ressourçant.

Alors que je pédalais le long d'un chemin bordé de haies, mon attention a été attirée par un mouvement dans un pré voisin. En m'approchant, j'ai aperçu deux magnifiques chevaux, visiblement en pleine complicité. Leur proximité et la tendresse palpable entre eux donnaient l'impression qu'ils étaient amoureux. L'excitation et l'énergie de l'un des chevaux étaient manifestes, comme s'il voulait exprimer sa joie et son affection à son compagnon.

Curieux et émerveillé par cette scène bucolique, je me suis arrêté pour les observer. Les chevaux, loin d'être effrayés par ma présence, se sont approchés de la clôture qui nous séparait. Ils ont tourné leur regard vers moi, semblant tout aussi curieux que moi de cette rencontre fortuite. 

J'ai sorti mon appareil photo pour immortaliser cette scène. Les deux chevaux, avec leurs crinières épaisses et leurs robes brun-rouge ornées de marques blanches, étaient magnifiques.

Ma recette d'un gâteau aux pêches

Voici une recette facile et rapide pour réaliser un délicieux gâteau aux pêches :

Ingrédients :

- 150 g de beurre salé

- 4 pêches

- 150 g de sucre

- 3 œufs

- 150 g de farine fluide

- 1 sachet de levure chimique

- 1 sachet de sucre vanillé

Instructions :

1. Préchauffez le four à 180°C (Th.6).

2. Faites fondre le beurre dans une casserole.

3. Épluchez les pêches et coupez-les en quartiers.

4. Dans un saladier, mélangez le beurre fondu, le sucre, les œufs, la farine, la levure chimique et le sucre vanillé.

5. Incorporez les quartiers de pêches à la préparation.

6. Versez le tout dans un moule à manqué beurré.

7. Enfournez pendant environ 40 minutes.

8. Démoulez le gâteau sur une grille ou un plat quand il est encore chaud.

9. Saupoudrez le gâteau aux pêches de sucre glace pour plus de gourmandise.

"Le Président Narcissique"

Victor Marlon, Président de la République, était connu pour son ego démesuré et sa soif inextinguible de pouvoir. Depuis son accession au pouvoir, il s'était entouré d'une cour de fidèles, prêts à tout pour satisfaire ses moindres désirs. Les élections législatives approchaient, et pour Victor, il était impensable de risquer la défaite. Il fallait que son parti conserve le statu quo à tout prix.

Victor Marlon était un homme charismatique, capable de séduire les foules avec des discours enflammés. Sa personnalité flamboyante et ses promesses mirobolantes lui avaient assuré une popularité certaine, mais au fond, c'était un manipulateur habile. Il savait jouer avec les peurs et les espoirs de la population, exploitant chaque situation à son avantage. Son contrôle sur les médias était total ; il ne laissait rien au hasard.

À mesure que les élections approchaient, Victor et son équipe mirent en place un plan de fraude minutieusement élaboré. Les urnes seraient truquées, les résultats manipulés, et les opposants réduits au silence par des menaces subtiles mais efficaces. Les adversaires politiques, bien qu'au courant de ses manigances, se turent par crainte d'être accusés de ne pas respecter les principes républicains. Ils savaient que toute contestation serait perçue comme une attaque contre la démocratie elle-même, une ironie cruelle dans ce contexte.

Les médias, autrefois considérés comme le quatrième pouvoir, étaient devenus les marionnettes du Président. Les rédacteurs en chef recevaient des consignes claires : pas un mot sur les fraudes. Quelques journalistes courageux tentèrent de résister, mais ils furent rapidement réduits au silence par des pressions diverses : menaces de licenciement, campagnes de diffamation, et pour certains, des menaces plus directes encore.

Le jour des élections, tout se déroula comme prévu. Les diverses manipulations donnèrent une victoire par l'absurde à Victor Marlon. Les rares voix dissidentes furent noyées dans un océan de célébrations orchestrées par les médias complaisants. Les soi-disant vainqueurs prononcèrent des discours triomphaux, promettant une ère de prospérité et de renouveau, alors que les murmures de mécontentement commençaient déjà à se faire entendre parmi la population.

Dans les jours qui suivirent, les signes de mécontentement se firent plus nombreux. Des manifestations sporadiques éclatèrent, mais elles furent rapidement dispersées par les forces de l'ordre. Les opposants politiques restèrent prudents, conscients que toute tentative de contestation ouverte serait écrasée. Malgré les doutes et les suspicions, Victor Marlon continua de régner sans entraves. Le statu quo semblait inébranlable.

La fraude électorale orchestrée par Victor Marlon avait porté un coup sévère à la démocratie. La confiance dans les institutions était ébranlée, et l'avenir du pays semblait incertain. Pourtant, malgré les murmures de mécontentement et les protestations, Victor Marlon restait au pouvoir, symbole d'un système corrompu et d'une démocratie en péril. Les citoyens, pris entre la peur et la résignation, se demandaient combien de temps encore ils pourraient supporter ce régime autoritaire déguisé en démocratie.