Le post de Donald Trump annonce l'annulation tous les documents signés par autopen sous l'administration Biden, estimés à 92 % des actes, y compris les ordres exécutifs et les grâces présidentielles.
L'autopen, outil légal utilisé par les présidents depuis Eisenhower pour signer mécaniquement, est qualifié d'illégal par Trump en raison d'une prétendue non-implication de Biden.
Réfléchissez, pourquoi Donald Trump fera-t-il cela s'il n'avait pas l'intention de les arrêter ?
(en vérité cette histoire d'autopen est un leurre - l'annulation viendra probablement de 2020)
Donald Trump a signé le 19 novembre 2025 la loi H.R. 4405, obligeant le Département de la Justice à publier les dossiers Epstein dans les 30 jours.
Cette mesure, adoptée par un vote quasi unanime au Congrès, vise à rendre publics des documents sur les associés du financier Jeffrey Epstein, décédé en 2019.
Donald Trump :
Jeffrey Epstein, qui a été inculpé par le ministère de la Justice de Trump en 2019 (pas par les démocrates !), a été un démocrate de toujours, a fait don de milliers de dollars aux politiciens démocrates et a été profondément associé à de nombreuses personnalités démocrates bien connues, telles que Bill Clinton (qui a pris 26 fois son avion), Larry Summers (qui vient de démissionner de nombreux conseils d'administration, dont Harvard), l'activiste politique Sleazebag Reid Hoffman, le chef de la minorité Hakeem Jeffries. (qui a demandé à Epstein de faire un don à sa campagne APRÈS qu'Epstein ait été inculpé), la députée démocrate Stacey Plaskett et bien d'autres. Peut-être que la vérité sur ces démocrates et leurs associations avec Jeffrey Epstein sera bientôt révélée, car JE VIENS DE SIGNER LE PROJET DE LOI POUR PUBLIER LES DOSSIERS EPSTEIN ! Comme chacun le sait, j’ai demandé au président de la Chambre Mike Johnson et au chef de la majorité au Sénat John Thune d’adopter ce projet de loi respectivement à la Chambre et au Sénat. En raison de cette demande, les votes ont été presque unanimes en faveur de l'adoption. Sous ma direction, le ministère de la Justice a déjà remis près de cinquante mille pages de documents au Congrès. N’oubliez pas : l’administration Biden n’a pas remis UN SEUL dossier ou page lié au démocrate Epstein, et n’a même jamais parlé de lui. Les démocrates ont utilisé la question « Epstein », qui les affecte bien plus que le Parti républicain, afin d’essayer de détourner l’attention de nos incroyables victoires, notamment le grand et beau projet de loi de réduction d’impôts, des frontières fortes, pas d’hommes dans les sports féminins ou transgenres pour tout le monde, mettre fin au DEI, arrêter l’inflation record de Biden, baisser les prix, les plus grandes réductions d’impôts et de réglementations de l’histoire, mettre fin à HUIT guerres, reconstruire notre armée, assommer. La capacité nucléaire de l’Iran, ce qui a permis d’INVESTIR des milliards de dollars aux États-Unis, de créer le pays le « PLUS CHAUD » au monde, et même de causer une ÉNORME DÉFAITE aux Démocrates lors du récent désastre de la fermeture. Pendant des années, notre Grande Nation a dû endurer la RUSSIE, la RUSSIE, la RUSSIE, l'UKRAINE,L'UKRAINE, l'UKRAINE, IMPEACHMENT HOAX #1, IMPEACHMENT HOAX #2 et de nombreux autres démocrates ont créé des chasses aux sorcières et des escroqueries, qui ont toutes été si terribles et ont semé la discorde pour notre pays, et ont été faites pour semer la confusion, détourner et détourner l'attention du GRAND TRAVAIL que font les républicains et l'administration Trump. Ce dernier canular se retournera contre les démocrates, comme tous les autres ! Merci de l'attention que vous portez à cette question. RENDONS À L'AMÉRIQUE SA GRANDE NOUVELLE !
Dan Trachtenberg est le réalisateur de 10 Cloverfield Lane, avant de se consacrer à l'univers de Predator. Après Prey, qui manquait d'intérêt et véhiculait un message anti-homme, il a marqué des points avec Killers of the Killers pour finalement décevoir avec Badlands, très éloigné du film original. Il aurait dû réaliser un animé comme pour son précédent film, cela aurait mieux passé, en prise de vue réelle, c'est franchement ridicule.
Un jeune Predator, voulant faire ses preuves, choisit la proie la plus difficile pour convaincre son clan qu'il mérite les honneurs. Sur sa planète de chasse, il rencontre une alliée en la personne de Thia, un androïde qui lui indique le chemin pour accomplir sa tâche.
C'est débile !
Cette série, qui possède de nombreuses qualités, commence par une reconstitution historique fidèle de l'époque (1880). Les acteurs et la réalisation sont impeccables. L'histoire n'est pas étalée inutilement, puisqu'il n'y a que quatre épisodes ; plus aurait été excessif.
On nous raconte, sur une année, la surprenante élection présidentielle américaine où un outsider, James Garfield, l'emporte avant d'être assassiné par un sociopathe sans la moindre raison.
Si le personnage de Garfield est assez insignifiant, son assassin est lui très intéressant, nous montrant clairement le caractère d'un pervers narcissique sans conscience. Il y a beaucoup de blabla politique, mais dans l'ensemble, la série se regarde avec plaisir.
Après Nightmare Alley et Pinocchio, Guillermo Del Toro revient sur Netflix avec un troisième film. La dernière fois que ce réalisateur m'a mis une claque, c'était en 2013 avec Pacific Rim, depuis, il a la main molle. Mais regardons Frankenstein.
Un jeune médecin sans scrupules souhaite vaincre la mort en faisant des expériences sur des cadavres. Il parviendra à ses fins, mais le regrettera vite. « Qui est le monstre ? » est la question qui nous est posée.
Dans l'ensemble, c'est un excellent film avec un ventre mou au milieu. C'est parfois trop lent, on sent passer les deux heures trente. Mais bon, on ne va pas chipoter : cette version est meilleure que celle de Kenneth Branagh de 1994. Il sera difficile de faire mieux avec cette histoire.
Ce documentaire de Netflix sur la tueuse en série Aileen Wuornos est intéressant et pousse à la réflexion. Il présente cette femme presque uniquement comme une victime, alors qu'elle est visiblement dérangée et a clairement choisi sa vie volontairement. Elle est responsable de sa vie. Cependant, je l'aurais acquittée dans la première affaire, car elle était clairement en légitime défense. La vérité est toujours complexe. Le juge sait qu'il s'est trompé. Toutefois, pour d'autres meurtres, elle reconnaît sa culpabilité. Elle a été exécutée selon son souhait. Le monde n'était pas adapté pour elle. Je pense que chacun aura un point de vue différent sur cette personne.
Cette année, Netflix a sorti une série venue d'Argentine, à fort potentiel. Un drame de science-fiction qui ne se déroule pas aux États-Unis apporte toujours une certaine fraîcheur.
Alors qu’un groupe d’amis joue une partie de poker dans la cave de l’un d’eux, un phénomène étrange se produit. Tout le matériel électronique tombe en panne au même moment où une chute de neige visiblement mortelle apparaît. Confiné dans cette maison, le petit groupe se demande ce qu’il se passe, imaginant une attaque atomique avec ses retombées radioactives, mais la vérité est tout autre.
Cette série démarre sur une très bonne idée, mais malheureusement elle ne parvient pas, faute de rythme et de cohérence psychologique, à aboutir à quelque chose de fort. C’est dommage, car ils n’en étaient pas loin. À part le premier épisode, je me suis ennuyé tout du long. Les personnages sont insignifiants et c’est lent, tellement lent. Avec quelques ajustements, ça aurait pu être génial.
Je suis Charles Robin sur YouTube depuis quelques années maintenant. Robin est un modeste professeur de philosophie qui réussit à vous faire connaître différents concepts philosophiques avec une simplicité déconcertante, ce qui est la marque d’un excellent précepteur, ce qui tombe bien, car c’est le nom de sa chaîne.
J’ai, comme il se doit, acheté son livre de vulgarisation philosophique "La philosophie c’est pour vous aussi". Comme dans ses cours en vidéo, il parvient, sur un autre support, à faire comprendre les pensées de divers philosophes (vingt en tout). Cela va de Descartes à Socrate, en passant par Schopenhauer et Simone de Beauvoir.
Certes, je les connaissais, mais une piqûre de rappel est toujours nécessaire pour conserver des appuis solides. J’ai tout de même découvert avec bonheur Hypathie d’Alexandrie, dont je partage visiblement les idées. C’est définitivement un livre pour tous.
Film réalisé par Mike Flanagan, spécialisé dans les films horrifiques moyens voire très mauvais, adapté d'une nouvelle de Stephen King. Oui, encore lui ! Le film est structuré en trois actes, commençant par le dernier et finissant par le premier, afin que l’acte 3 ne soit pas inutile.
L'acte 3 : Un professeur de collège, ainsi que le monde entier, constate que le monde s'effondre inexplicablement : coupures d'internet, de télévision, tremblements de terre, gouffres sur les routes, disparitions d'espèces d'oiseaux et de poissons, etc. Le nom de Charles "Chuck" Krantz revient en permanence sans que personne ne sache qui il est.
L'acte 2 : Nous découvrons ce Chuck quelques mois avant qu'il ne tombe dans le coma (cela nous est révélé par une voix off qui dévoile donc l'intrigue après 40 minutes). Dans cet acte inutile, Chuck danse devant une musicienne de rue.
L'acte 1 : On nous raconte l'enfance de Chuck jusqu'à son mariage, avec le mystère d'une pièce verrouillée où il n'a pas le droit d'entrer. Il découvrira pourquoi à la fin.
Bon, oui, je spoile : Chuck est en train de mourir et son univers s'effondre, s’efface petit à petit de son point de vue de comateux. Quant à la pièce derrière cette porte, on y voit la mort prochaine d'un proche ou la sienne. J’ai trouvé que l’acte 3 avait le niveau d’un épisode de la Quatrième Dimension ; le reste du film devient inutile à partir du moment où l’on nous révèle que Chuck est dans le coma. L’acte 2 n’aurait pas dû exister car il détruit tout l’intérêt du film. Dans l’ensemble, c’est un film moyen et parfois ennuyeux, mais le message final reste positif : profitez de la vie. Cependant, Flanagan et King y glissent des messages wokes et escrologistes qui insultent une partie des spectateurs.
Sawako Kimi ni Todoke est un animé japonais appartenant au genre de la comédie romantique. L'histoire est centrée sur Sawako, une jeune lycéenne si timide et renfermée que ses camarades la croient capable de porter le mauvais œil, principalement à cause de sa ressemblance avec le personnage du film d'horreur The Ring. Malgré ces difficultés, elle parvient peu à peu à se faire des amis.
L'intrigue ne se concentre pas sur des événements spectaculaires, mais plutôt sur les petits moments quotidiens de la vie lycéenne, oscillant entre amour et amitié. Avec 24 épisodes, la série peut parfois donner l'impression de s'éparpiller, mais elle reste néanmoins très plaisante à suivre. (PS : La saison deux est nulle)
Sorti il y a quelques semaines sur Netflix, ce film coréen réalisé par un certain Tae-Sung est, dès la première minute, une copie de John Wick. Et à part le premier volet, je déteste la saga John Wick : violence gratuite, incohérences, amoralité.
Mantis est un jeune tueur à gages d’élite qui travaille pour une agence d’assassins et souhaite prendre des vacances. Pendant ce temps, son agence fait faillite. Avec ses amis, il monte leur propre agence.
C'est comme John Wick mais version chiante. Et dans tout ça, on se demande : que fait la police ? Le concept est déplorable, ce genre de film ne devrait même pas exister. Je n’ai pas tout regardé, juste ce qu’il faut pour le détester.
Le nouveau film du réalisateur allemand Edward Berger est sorti fin octobre sur Netflix. On le connaît pour deux masterclasses : À l'Ouest rien de nouveau en 2022 et Conclave en 2024.
Un joueur compulsif britannique, criblé de dettes, tente sous une nouvelle identité de se refaire à Macao, capitale du jeu. Sous pression, il craint que ses usuriers ne le retrouvent.
À part une réalisation bien léchée et le jeu d'acteur de Colin Farrell, ce film est une perte de temps. L'histoire qui nous est racontée n'a pas d'intérêt. On voit un homme malade jouer au casino, et c'est tout. Le réalisateur tente bien une histoire d'amour, mais elle est complètement ratée. Premier échec international pour Berger.
Un film Netflix sorti le mois dernier, réalisé par un inconnu, Simon Stone, qui ne m'a pas convaincu.
Une journaliste d'investigation part faire un reportage sur un yacht de luxe pendant une croisière. Elle est alors témoin de la chute d'une personne par-dessus bord, mais personne ne la croit.
C'est un scénario typique où le témoin n'est pas cru pour une raison inconnue, ce qui frustre le spectateur jusqu'à la résolution de l'affaire. Je n'aime pas ce principe. C'est un film du dimanche après-midi, un jour de pluie. Une fois vu, il est tout de suite oublié.
Si je connais le cinéma de Hong Kong, du Japon et de la Corée, je n'avais jamais vu un film venu d'Indonésie. Il a fallu un film de genre pour qu'on nous le propose sur Netflix.
Un élixir de jouvence crée finalement des zombies, et une famille dysfonctionnelle à l'origine de l'élixir doit s'unir pour survivre.
Je ne comprends pas les notes sur les sites de critiques : ce film est loin d'être mauvais. En matière de films de zombies, j'ai vu bien pire. Certes, il ne réinvente pas la poudre, mais il fait le travail, ni plus ni moins.
L'anime Bloom, intitulé à l'origine Kaoru Hana wa Rin to Saku (La fleur parfumée fleurit avec dignité), est une comédie romantique que je qualifierais de chiante comme la pluie, diffusée en 2025 sur Netflix. L'intrigue suit un lycéen timide et réservé d'un lycée public souvent associé à une mauvaise réputation, ainsi qu'une élève raffinée d'un prestigieux lycée privé situé juste à côté. Leur rencontre mène à une romance secrète qui défie les préjugés entre leurs deux établissements rivaux, non sans leur attirer des problèmes.
