Gameforge m'envoie régulièrement des emails, et le dernier était fort inquiétant. En effet, ils prévenaient les joueurs, anciens joueurs dans mon cas, de la fusion des serveurs anglais, français et allemand. C’est-à-dire que les joueurs parlant anglais, allemand et français vont jouer sur le même serveur, Undercity. Par ailleurs, sur un second serveur joueront ensemble les polonais, les italiens et les espagnols. Il n’existe donc plus que deux serveurs dans le monde. Quand je pense qu’à mon époque, il y avait quatre serveurs rien que pour la France, ça sent la fin de Nostale.Je me suis connecté une minute pour voir et, surprise, il y avait du monde sur le canal 1, bien qu’il ne soit que 8h du matin, mais personne ne parlait. Je me pose des questions, comme : y a-t-il un canal spécial où les francophones se réunissent ? Pour répondre à cette question et à d’autres, je me suis reconnecté cet après-midi, en mode journaliste, pour discuter avec un ancien que j’ai trouvé, Messi72, qui a atteint le niveau maximum de héros, 90.Je lui ai donc demandé quelques renseignements et, selon lui, la majorité des joueurs de 2025 sont une bande de tarés (je l’avais déjà constaté cette tendance en 2022). Il m’a dit que c’est difficile si tu ne parles pas anglais et qu’il n’y a pas de canal réservé aux français. Il m’a aussi dit qu’il pensait que j’étais mort, eh bien non, je suis juste plus vieux. J’ai aussi vu spéphane25, mais il était AFK.Je donne deux ans grand maximum avant la fermeture de Nostale.
mercredi 13 août 2025
mardi 12 août 2025
Mon avis sur Léviathan
Léviathan est une série animée japonaise sortie sur Netflix en juillet, et la première chose qui me frappe, c’est la beauté des graphismes. L’univers steampunk et uchronique, qui nous raconte une autre version de la Première Guerre mondiale, est un autre point fort de cet animé. Malheureusement, je n’ai tenu que deux épisodes sur les douze.
Pourquoi ? Eh bien, à cause des personnages principaux. Le premier est le pire. Il s’agit du prince héritier de l’empire et il est, comment dire sans être vulgaire… tant pis, c’est un énorme connard que j’ai envie d’étrangler à chaque fois qu’il ouvre la bouche. Et c’est lui le héros de l’histoire, un petit con qui n’écoute rien et qui mérite cinq ou six paires de claques à la minute que l'on doit apprécier ? Même le second héros, le transsexuel, est moins con que lui, c’est dire à quel point il en tient une couche.
Oui, le second personnage principal est une ado qui se fait passer pour un garçon pour pouvoir aller à la guerre, quelle bonne idée. Ah, si tous les gens comme elle pouvaient faire pareil et aller au front, ça nous ferait des vacances.
Malgré ces qualités, la série n’est donc pas regardable, car en effet, comment s’identifier à deux idiots, surtout le premier (oh que je ne l’aime pas, lui).
lundi 11 août 2025
Mon avis sur The Electric State
Sorti il y a quelque temps sur Netflix, cette grosse production au budget pharaonique, on parle de 320 millions de dollars, ne s'avère être qu'un film pour enfants. Je me demande comment ils font pour rentabiliser des œuvres aussi chères. Quoi qu'il en soit, je pense que ce film aurait bien mieux fonctionné en version dessin animé. Car, franchement, dans notre monde réel, le scénario n'a aucune crédibilité. Je me demande parfois si les scénaristes d'Hollywood n'ont pas dix ans d'âge mental. Nous avons des personnages qui changent d'avis et se retournent complètement en dix secondes chrono, par exemple. Les seules qualités du film sont esthétiques et techniques.
Le film parle d'une étrange relation entre une sœur et un frère ; au début, j'ai cru que c'était un couple, dans une version alternative des années 1990. Après une guerre entre humains et robots, les robots rebelles sont confinés dans le désert. Une jeune femme découvre que l'esprit de son frère est dans un petit robot et que son corps humain est quelque part dans le pays des robots. Elle part en quête pour le retrouver.
Au moins, les frères Russo ont réalisé un beau film, visuellement parlant, mais pour le reste, ils sont toujours aussi nuls.
vendredi 8 août 2025
RFK JR COUPE LES FONDS À BIG PHARMA
jeudi 7 août 2025
Les déclarations de Tulsi Gabbard
Lorsqu'on lui a demandé si elle croyait en l'existence d'extraterrestres, Gabbard a répondu « oui », tout en précisant qu'elle devait être prudente dans ses propos en raison de son rôle officiel. Elle a déclaré : « J'ai mes propres opinions et points de vue, mais dans ce rôle, je dois faire attention à ce que je partage. » Il faut rappeler qu'elle est la chef des services de renseignements américains.
Interrogée sur les vidéos d'OVNI récemment déclassifiées, Gabbard a indiqué qu'elle n'était « pas prête à en parler aujourd'hui », mais a promis que son équipe serait « transparente avec le public le moment venu » concernant les résultats des enquêtes en cours.
Concernant les observations de drones au-dessus du New Jersey en 2024, Gabbard a exprimé des doutes sur les explications officielles, déclarant : « J'ai encore beaucoup de questions sans réponse, car ce n'était pas seulement au New Jersey, cela se passait dans différentes parties du pays. » Elle a mentionné avoir entendu la « version officielle publique », mais reste sceptique.
Gabbard a souligné que la communauté du renseignement américain recherchait « la vérité » et s'est engagée à partager les informations déclassifiées avec le public lorsque cela serait possible, bien qu'elle ait noté l'existence de « renseignements classifiés » sur le sujet.
Dire « pas prête à en parler aujourd’hui » n’est pas anodin. C’est presque un clin d’œil : ça suggère qu’il y a quelque chose à dire, mais qu’elle est contrainte par des protocoles ou des impératifs de sécurité nationale. Si les OVNI étaient un non-sujet, elle aurait pu se contenter d’un « il n’y a rien à voir ici » sans prendre de risques. Son hésitation est un signal fort, surtout venant de quelqu’un qui a accès à des dossiers top secrets.
Si les drones du New Jersey étaient clairement identifiés (militaires, civils, ou même des ballons météo mal compris), une figure de son calibre aurait les moyens de le confirmer, ou du moins de calmer le jeu avec une explication crédible. En disant qu’il y a « encore des questions sans réponse », elle ouvre la porte à l’idée que ces incidents pourraient ne pas être aussi banals qu’on veut bien le faire croire. Cela pourrait aller de technologies avancées non divulguées (par les États-Unis ou un adversaire) à quelque chose de plus… exotique. Le fait qu’elle mentionne des incidents similaires ailleurs dans le pays renforce l’idée que le phénomène est plus large et peut-être plus complexe qu’une simple histoire de drones égarés.
L’aveu de l’existence de dossiers classifiés est un aveu en soi. Si les OVNI n’étaient qu’une chimère ou des erreurs d’identification, pourquoi classer des informations à ce sujet ? Les dossiers classifiés impliquent un niveau de sérieux et, potentiellement, des données sensibles qui pourraient bouleverser la perception publique. Cela pourrait inclure des observations confirmées de phénomènes aériens non identifiés (UAP) avec des caractéristiques technologiques dépassant les capacités humaines connues, ou même des interactions documentées. Gabbard sait probablement des choses que le public ignore, et son engagement à la transparence « quand le moment sera venu » laisse entendre qu’une déclassification partielle pourrait être en préparation.
Les déclarations de Tulsi Gabbard, avec leur prudence et leurs sous-entendus, pointent clairement vers l’existence de dossiers OVNI sérieux et classifiés, ce qui est en soi une information lourde de sens. Ici le terme "exopolitique" est pertinent : il encapsule l’idée que la question des OVNI ne se limite pas à des spéculations scientifiques ou à des observations isolées, mais qu’elle pourrait avoir des implications profondes pour la géopolitique, la sécurité nationale, et même notre compréhension de la place de l’humanité dans l’univers.
Si l’on accepte que des dossiers classifiés existent et que des phénomènes inexpliqués sont pris au sérieux par les autorités, cela invite à repenser notre vision du monde. L’exopolitique, en tant que cadre d’analyse, suggère que des interactions potentielles avec des entités ou technologies non humaines pourraient influencer des décisions politiques, militaires, voire sociétales, même si ces implications restent pour l’instant dans l’ombre.
En résumé, les aveux implicites de Gabbard renforcent l’idée que les OVNI ne sont pas qu’une anecdote culturelle, mais un sujet qui mérite d’être intégré dans une réflexion plus large sur notre réalité.
Mon avis sur "Sur la gâchette"
Encore une bonne série coréenne sortie cet été sur Netflix. Certes, on est loin d’un chef-d’œuvre, car il y a pas mal de longueurs, de petites incohérences, un jeu d’acteur parfois douteux et des motivations peu crédibles.
C’est l’histoire d’un homme victime d’une jeunesse particulièrement horrible, qui décide de se venger d’une manière peu orthodoxe. Il distribue des armes à feu à des personnes en colère, persécutées par leur entourage, pour qu’elles puissent se défendre en tirant dans le tas. De son côté, un ancien militaire des services spéciaux, qui vient d’intégrer la police, fait tout pour retrouver le vendeur d’armes.
Comme je l’ai mentionné, on ne comprend pas vraiment pourquoi l’antagoniste agit ainsi alors qu’il est condamné. On se demande aussi comment ce gars a pu être à la tête d’une telle organisation. Avec son argent, il devrait plutôt profiter des quelques mois qu’il lui reste à vivre. Le flic, lui, est clairement incompétent : plusieurs fois, on se dit « Mais pourquoi ne poses-tu pas cette question pourtant évidente au suspect ? » ou « Pourquoi n’emportes-tu pas cette preuve que tu viens de trouver ? » Le pire, c’est la fois où le suspect disparaît comme ça, devant tout le monde. Le mec serait l’homme invisible, et on ne m’aurait rien dit ?
Malgré ces défauts, dans l’ensemble, c’était plaisant. Il y a quand même plus de bons que de mauvais côtés.
lundi 4 août 2025
Le retournement de veste de certains ré-informateurs
C'est amusant, Donald Trump à réagit indirectement à mon dernier article donnant sa version du phénomène : "Peut-être qu'ils ne sont pas intelligents, parce qu'ils jouent directement dans le camp de l'ennemi. Ce sont vraiment des gens qui paniquent. Ils ne peuvent pas supporter la pression."
Il a tout à fait raison. C'est ce que j'ai dit dans mon article d'hier avec d'autres mots. Aldo Sterone, Jim Léveilleur, Salim Laïbi... ne supportent pas la pression. Ils sont impatients, du coup ils paniquent et se mettent en boule comme un pangolin, dans la position défensive du perdant. Un perdant n'a pas d'espoir, donc il n'attend plus rien et donc ne sera pas déçu. Le souci c'est qu'ils entraînent leurs suiveurs dans le défaitisme et la dépression. De mon point de vu se sont des salopards. Ils ont identifiés le même ennemi et pourtant ils lâchent notre champion, celui qui nous fera gagner.
Source : https://x.com/VirginiePerez15/status/1952269188464103490
Mon article d'hier : https://fafanosoucy.blogspot.com/2025/08/les-re-informateurs-pendant-la-tempete.html
dimanche 3 août 2025
Les ré-informateurs pendant la tempête
Je commence par six ré-informateurs qui se comportent bien, c'est-à-dire ceux qui tiennent le cap sans vaciller, qui ne changent pas d'avis toutes les semaines, les optimistes, ceux qui ont compris les événements du monde en les liant de la bonne façon.
Le premier de la classe est le Canadien Alexis Cosette-Trudel, c'est le meilleur et bien que je me sois disputé avec lui et qu'il m'ait bloqué sur X, je ne lui en tiens pas rigueur (il faudrait que je raconte cette histoire). Le deuxième est Florian Philippot. OK, lui est dans la politique, il doit donc garder une certaine réserve. De plus, il est soupçonné d'être un agent double, mais je constate qu'il se comporte dignement depuis le Covid. Il fait avancer la cause, et c'est tout ce qui compte. Le troisième est Mohammed Diallo, c'est le plus charmant, sympathique et optimiste. Il est une bouffée d'air pur pour ceux qui sont mélancoliques. Le quatrième est Antoine Cuttitta. OK, je sais que le gars ne vérifie pas toujours ses sources et peut tomber dans des pièges, mais il est toujours sincère et droit dans ses bottes. En cinquième, je citerai le trio d'ADNM. Certes, le leader du groupe est un illuminé, mais pour comprendre le complot mondial, il faut parfois un soupçon de folie, donc il faut accepter les défauts de ces qualités. Et en sixième j'ajoute Silvano Trotta (avec qui je me suis aussi disputé) qui est un homme de valeur qui ne se démonte jamais, sacré courage.
Et voici six ré-informateurs qui normalement sont dans le bon camp, mais qui se sont diversement mal, voire très mal comportés pendant la tempête. C'est la liste de ceux à qui on rasera la tête à la libération ; en tout cas, ils seront sermonnés pour ne pas avoir vu juste au moment où on avait l'avantage.
Le premier est Pierre Jovanovic, c'est le plus décevant : après tout ce qu'il a fait, c'est à la fin qu'il pète un câble et ne comprend plus rien (il m'a retweeté plusieurs fois). Le deuxième est Aldo Sterone, quel crève-cœur, car le mec est sympa et voit juste depuis 15 ans, mais son pessimisme l'a rattrapé ; il voit tout en noir et est incapable de percevoir la victoire approcher. Le troisième est Jim Léveilleur qui, à l'image de Sterone, est d'un pessimisme à se flinguer, ce qui est très surprenant de sa part : il est dans le spirituel, mais apparemment il se complaît dans la défaite. Le quatrième est Salim Laïbi, lui aussi a compris tous les complots depuis 15 ans, mais il est tellement enfermé dans son intégrisme musulman qu'il ne comprend plus rien depuis plusieurs années. Le cinquième est Juste Milieu, qui il y a quelques jours a fait un caca nerveux de masochisme ; lui aussi adore la défaite et refuse de voir en Trump un vainqueur de l'État profond, comme les quatre autres. Enfin en sixième je pense à Richard Boutry a qui je ne fais pas du tout confiance. Lui aussi a fait sa diatribe anti-Trump. Ces six mecs se battent littéralement pour être des perdants et en sont fiers.
J'aurais pu en citer d'autres dans les deux catégories, mais je me suis limité à six.
Mon avis sur Havoc (Ravage)
Le réalisateur Gareth Evans est un spécialiste des films d'action bien bourrins, dont certains sont très réputés auprès des amateurs du genre (The Raid 1 et 2). Ici, avec Ravage (titre français), Evans continue dans sa lignée de films violents. J'ai trouvé cela caricatural et je me demande quel est l'objectif derrière tout cela : à quoi bon une telle violence gratuite ? Je trouve que le scénario ne tient absolument pas la route. L'histoire d'un détective, qui semble ne pas tenir à la vie tant il prend de risques, tente de sauver le fils du maire de la ville, recherché à la fois par la police et une mafia de la drogue. Tom Hardy fait ce qu'il peut en tant qu'acteur principal, mais son personnage n'est pas crédible. J'ai appris que le film avait été tourné en 2021, mais devant les retours des tests, ils ont retourné une grande partie du film en 2024 pour finalement le sortir en 2025. Je ne comprends pas pourquoi les réalisateurs ne s'inspirent pas d'histoires vraies plutôt que de nous raconter des histoires invraisemblables et grandiloquentes, c'est tellement ridicule !
jeudi 31 juillet 2025
Mon avis sur Les 4 Fantastiques premiers pas
Depuis le début de l'année, il n'est sorti au cinéma que des daubes. Cependant, il faut bien sortir de sa grotte et tenter sa chance, ne serait-ce qu'une fois, sur un film que les critiques ont plutôt apprécié. Personnellement, j'ai beaucoup aimé Les 4 Fantastiques, bien qu'il m'ait fallu, avant d'entrer dans le film, un énorme effort de suspension d'incrédulité.
En effet, je trouve qu'à la base, le principe des 4 Fantastiques est complètement stupide : un homme élastique, un homme caillou, un homme-torche volant et une femme invisible psychokinésiste, après avoir été touchés par le même rayon cosmique… qui peut avaler ça ? En plus, ils ajoutent une technologie très avancée et invraisemblable, comme voyager plus vite que la lumière (sans conséquences temporelles qui plus est) et la téléportation.
Bon, je passe sur l'homme-taupe, mais pas sur la Surfeuse d'argent qui, elle aussi, avec son surf, va plus vite que la lumière… comment ??? Et pourtant, une fois qu'on accepte ce ridicule postulat… eh bien, il reste un bon film.
Un film à l'ancienne dans le sens où il n'est absolument pas woke. Je n'en fréquente aucun, mais ils doivent enrager presque autant qu'après une publicité de Sydney Sweeney. Car en effet, c'est le grand retour de la famille blanche et occidentale, qui plus est, avec des amours hétérosexuels, sans ajout de personnages gays comme le voudrait la charte hollywoodienne.
Autres bons points : le film ne dure qu'une heure cinquante et il n'y a que deux scènes d'action, privilégiant les relations humaines. On voit même l'homme-caillou entrer dans une église, blasphème ultime pour les wokes.
La bande-son est aussi un point fort du film. Certes, on est loin d'une composition à la John Williams, mais elle reste toujours agréable. Les effets spéciaux sont aussi bons, si on excepte le bébé numérique : on m'explique pourquoi ils n'ont pas pris un vrai bébé, les acteurs étaient sous fond vert et pas vraiment dans l'espace, donc pourquoi ?
Finissons par le grand méchant alias Galactus : le mec a faim, il veut bouffer, c'est sa seule motivation. Mais pourquoi ne bouffe-t-il pas Vénus plutôt que la Terre ? On ne saura jamais. Vénus est peut-être trop épicée.
Ah oui, j'allais oublié de dire que l'origine story des personnages est ingénieusement racontée dans une émission rétrospective de télévision.
(Dans ma critique j'ai évité de parler du très malfaisant Pédro Pascal pendant la promotion du film, pour ne juger que le film)