Il y a quelques années j'ai écrit une histoire d'halloween pour mes neveux Amine (2pac) et Fouzy (homeer) qui les avait bien amusé, j'ai utilisé leur langage de l'époque du mieux que j'ai pu, voilà bonne lecture.
La maison de l’horreur
Le soir d’halloween Amine et Fouzy faisaient du porte à porte pour récolter le maximum de bombec quant en passant dans une rue sombre ils remarquèrent une vieille maison délabrée.
- On va pas frapper à cette porte quand même? dit Fouzy.
- Mais si, c’est toujours dans les vieilles maisons qu’on trouve les meilleurs bonbons, répondit Amine.
- Personne ne va dans cette maison, ça fout la trouille.
- Justement, il y aura plus de bonbons pour nous.
Ils avancèrent sans faire de bruit jusqu’à la porte d’entrer.
- Vas-y frappes, dit Amine.
- Pourquoi moi, c’est toi qui voulait y aller, répondit Fouzy.
- T’es qu’un peureux, bordel de merde c’est pas dur, regarde TOC TOC TOC.
Immédiatement la porte s’ouvrit ce qui fit sursauter les deux garçons, une vieille dame habillé comme une sorcière se trouvait à présent devant eux et leur dit.
- Mes petits enfants comme vous êtes jolis déguisés comme ça.
- Mais on est pas déguisés, répondit Fouzy.
- C’est à cause de la pluie, on voulait pas mouiller nos costumes d’halloween, dit Amine.
- Je vois, entrez donc une minute vous allez prendre froid, je vais vous donner des confiseries, j’en ai beaucoup.
Sur ces bonnes paroles ils entrèrent sans se poser de questions. Une fois à l’intérieur la porte claqua d’un coup. Amine se retourna pour ouvrir, mais la porte était verrouillée, ils étaient prit au piège et la vieille dame avait disparu. Ils étaient maintenant seul dans un couloir sombre.
- Il faut sortir d’ici, dit Amine.
- Je le savais qu’on aurait des problèmes dans cette maison pourrie, hurla Fouzy.
- T’étais pas obligé de venir merde, trouvons une sortie, par là vite avant qu’elle revienne.
Ils avancèrent doucement jusqu’au fond du couloir et arrivèrent devant une grande fenêtre sombre.
- Essais de l’ouvrir la fenêtre Amine.
- J’arrive pas à atteindre la poignée, elle est trop haute.
- Saute! Saute gros lard!
- Tu vois bien que je peux pas imbécile!
- Casse là alors!
- Avec quoi, ma tête, comme Zidane? T’es malade je vais me tuer, il faut trouver une autre sortie.
Tout à coup des bruits de pas se faisaient entendre à l’autre bout du couloir.
- Elle vient vers nous, faut se tirer, vite, par là il y a une porte, dit Amine.
Fouzy ouvrit la porte sans difficulté, ils entrèrent et se retrouvèrent dans une chambre, le sol était recouvert de fientes d’oiseaux et l’air sentait la pisse de chat. Fouzy regarda sur sa gauche et vit une autre porte, il l’ouvra et découvrit un escalier, ils entendirent les pas se rapprocher.
- Il faut monter elle arrive, dit Amine.
- Ok ok on monte, mais on pourra plus sortir après, répondit Fouzy.
- On sautera d’une fenêtre à la désespérer, allez montes.
A l’étage ils trouvèrent une nouvelle porte, cette fois elle était fermée, ils étaient foutu!
- Bordel on est cuit, elle va monté et nous faire prisonniers dans sa cave, dit Amine.
La vieille Dame commença à monter les marches, Amine et Fouzy virent le visage de la grand-mère éclairé par une lampe de poche et crièrent de peur, tout était perdu!
- Je vous cherchait les enfants, voilà vos bonbons!
- Comment, vous allez pas nous tuer? dit Amine.
- Vous tuer! Bien sur que non, mais pourquoi êtes vous monté? Dit la vieille.
- La porte d’entrer était fermée à clé, dit Fouzy.
- La porte? Ah oui c’est à cause du courant d’air, à chaque fois elle se bloque, venez on descends, je vais vous ouvrir, dit la vieille.
Et c’est ainsi Qu’Amine et Fouzy purent rentrer chez eux saint et sauf avec un sac remplit de bonbons.
FIN.
pas mal en plus je vient d'apprendre que c'est tes neuveux
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